Contre la torture des straps !

Ce matin, j’étais entrain de faire la cuisine. C’est la raison pour laquelle, j’ai un tablier de cuisine sur les photos ; je le précise car certains pourraient penser qu’il s’agit d’une robe. Ne vous méprenez pas, je ne porte pas de robe, JAMAIS !… (en écrivant cela, j’ai conscience de faire des déçus et de briser quelques coeurs, vous m’en voyez sincèrement désolé !…).

Reprenons le cours de notre histoire. Pendant que mes calamars à l’ail étaient entrain de griller gentiment, un ami désirant me faire voir sa montre s’est planté devant moi et s’est mis à torturer atrocement son bracelet pour en dégager l’ardillon. Voyant cela, j’ai failli tourner de l’oeil. Bien sûr, j’ai pensé à le chasser immédiatement de ma maison en le maudissant sur plusieurs générations, mais comme c’est un ami fidèle, j’ai préféré prendre sur moi et lui expliquer les choses calmement (je deviens de plus en plus zen en vieillissant !…).

Mon explication terminée, je me suis alors dis que ça pourrait éventuellement intéresser d’autres personnes. Aussi vais je me permettre de vous rappeler comment on attache et comment on détache son strap en évitant de trop le contraindre.

La première photo (âmes sensibles, vous pouvez fermer les yeux !…), c’est ce qu’il ne faut pas faire. En effet, en tordant le strap de cette façon, on l’abîme et on réduit sa durée de vie. Pour un strapmaker qui se respecte, regarder cette photo est un véritable supplice..

 

 

 

 

 

 

La deuxième photo, c’est ce qu’il faut faire. Garder le brin aligné et pousser doucement la boucle avec le pouce ou l’index pour en dégager l’ardillon.

 

 

 

 

Voilà, je veux croire que la plupart d’entre vous étaient déjà éduqués à la « technique », mais il est toujours bon de répéter ses classiques.